Si Hélène Ségara s'est absentée quelques temps de la scène, c'est qu'elle avait ses raisons. La revoilà, toujours aussi belle et rayonnante pour une tournée en Europe mais avant, pour une escapade à Djerba où elle a passé 24 heures afin de suivre l'événement. Le Temps : Vous avez été contrainte de déserte la scène pour une période de quelques années, puis on vous croise à Djerba Explore chantant en anglais. H.S : J'ai été contrainte pour des raisons de santé. J'ai été opérée en 2003, ce qui m'a fait perdre la voix... Les médecins étaient unanimes quant à la fin de ma carrière estimant que c'était fini pour Hélène Ségara ! Conséquence, j'ai été lâchée par mes producteurs...
• Comment avez-vous vécu cette dure épreuve ? Cela m'a permis de connaître mes vrais amis. L'autre difficile épreuve, la mort de mon père... mais il faut reconnaître que c'est aussi la naissance de mes deux bébés qui m'a éloignée de la scène... Actuellement, je me prépare fin mars à une tournée en France, puis la Suisse, puis la Belgique, je serai prête de venir à Carthage pour l'été prochain si jamais je suis sollicitée.
• Que retenez-vous justement de votre dernier passage à Carthage ? J'ai été agréablement surprise de voir les jeunes tunisiens répéter mes chansons, c'était fascinant. Cet amphithéâtre romain et ses quinze mille spectateurs. Quant à mon dernier album de 2006, il s'intitule "Quand l'éternité", c'est un nouveau visage car c'est plutôt pop.