Qui ne connaît pas le sympathique ex-entraîneur du Stade Tunisien Robertinho. Revenu chez lui à Rio, il a gardé pas mal de contact avec ses amis tunisiens, en particulier, avec Raouf Guiga, stadiste de pure souche qu'il a connu du temps de son passage au club du Bardo. Sollicité par ce dernier, pour dénicher un attaquant patenté, le Brésilien n'a pas hésité à lui recommander un buteur. Au Stade Tunisien, il manque encore cruellement un finisseur, et, les responsables n'ont pas droit à l'erreur. Sera-t-il l'oiseau rare tant convoité par les stadistes? Sera-t-il le joueur capable de résoudre le problème de l'efficacité devant? En tous les cas, son arrivée est imminente, mais il n'est pas indiqué qu'il sera tout de suite recruté. Le staff technique ne se prononcera pas tant qu'il ne le teste pas pendant quelques jours. Le Congolais, dont on a parlé n'a pas été retenu, et, il a déjà fait ses valises. Il y a donc toujours une place pour un troisième étranger, avec Aubain, et, Martial. A propos de ces deux derniers, le club du Bardo, n'honore pas ses engagements avec eux. Il faut les comprendre.
Qui après?
Au Stade Tunisien, on ne peut pas dire que de bonnes affaires ont été réalisées dans le chapitre des recrutements. Jusqu'à présent, Jassem Khalloufi, Borhène Ghannème, Amine Amami, Wael Bahri, et, tout récemment, Haythem Ben Salem ont été recrutés. Mais, une question s'impose: puisqu'ils sont des joueurs qui n'ont pas beaucoup joué dans leurs ex-clubs respectifs, seront-ils les sauveurs du Stade Tunisien? Difficile d'y répondre. Si en valeur absolue, ils peuvent être à la hauteur, il leur faudra tout de même un peu de temps pour rebondir.