Vol à la tire: Les pickpockets préféraient les marchés hebdomadaires Les trois comparses dans cette affaire, s'étaient habitués à flâner dans les marchés hebdomadaires, non pas pour faire des emplettes, mais pour vider les poches des autres. Les autres, ce sont les ménagères ou les pères de famille qui viennent dans le but de s'approvisionner pour la semaine. Cela s'est passé dans la ville d'Aguareb, dans le gouvernorat de Sfax, où trois individus ont été arrêtés par un groupe de citoyens qui les ont conduits au poste de police de la région, après avoir remarque leur attitude suspecte et s'être assurés qu'ils avaient subtilisé les portefeuilles d'au moins trois personnes. Les agents de police ont trouvé en leur possession un certains nombre de sacs de portemonnaies et de portefeuilles, pour un butin totalisant la somme de 1600 dinars. Ils ne purent ainsi qu'avouer leurs méfaits. Ecoués en vertu d'un mandat de dépôt, ils attendent d'être jugés. A.N. Un bateau pêcheurs fait naufrage Un bateau de marins pêcheurs, transportant 8 personnes, a quitté dimanche dernier la ville de Bekalta du gouvernorat de Monastir sans donner jusqu'à ce jour, un seul signe de vie. L es âges des pêcheurs varient entre 29 et 55 ans. Abdelmajid Ezzar, président de l'Union Tunisienne de l'agriculture et de la pêche, a indiqué dans une déclaration hier aux médias, qu'un hélicoptère était parti hier à la recherche de ce bateau, sans résultat jusqu'à cet instant. La mère d'un élève arrêtée suite à un accrochage avec le directeur Souhir Saidani, une citoyenne tunisienne habitant à Manouba, a indiqué hier dans une déclaration accordée aux médias, que sa mère, Najiba Abbsi, a été arrêtée puis transférée devant la justice suite à un accrochage avec le directeur d'une école à Douar Hicher à Manouba. Selon les dires de la jeune femme, son frère avait été giflé par le directeur en présence de sa mère, qui a retourné la gifle au responsable de l'école. Souhir Saidani a ajouté que le directeur avait même menacé le petit garçon de mort, devant sa maman.Pour sa part, le directeur de l'école, Taoufik Salim a indiqué sur les ondes d'une radio de la place, que la mère de l'élève l'avait agressé verbalement. Fin de cavale pour le meurtrier Il habite Ezzahrouni, et malgré le meurtre qu'il a commis, il n'a pas cru nécessaire de fuir. Mais il resta tapi chez lui et sortait de temps à autre , question de changer d'air. Il futb interpellé par les agents de police au moment où il s'y attendait le moins. Informé le procureur de la République près le tribunal de première instance de Tunis, a délivré un mandat de dépôt à son encontre.