Par Saber . | Il y a 9 minutes Non content d'avoir sabordé la visite du chef du gouvernement en Italie, le ministre de l'économie, Ali Kooli, à cause de la maladie duquel, toute la délégation tunisienne s'est vue refuser l'accès en Italie et a du rentrer en Tunisie, est, lui, resté à Paris. Et, selon les sources de TunisieNumerique, il n'aurait pas l'intention de revenir à ses bureaux de sitôt. Le futur-ex-ministre aurait, en effet, confié à ses proches qu'il allait, tout d'abord, se concentrer et se focaliser de façon complète sur son rétablissement de la covid, et que, par ailleurs, il « ne compte pas renouveler la mission » ! Ce qui laisse croire que ce monsieur n'a rien compris à « sa mission » et à sa nomination en tant que ministre. Ce qui pourrait, d'ailleurs, expliquer, en partie, son comportement, depuis sa prise de fonctions, avec la nonchalance et l'indifférence qu'il n'a cessé d'afficher face aux problèmes suraigus du pays et des citoyens, et en se concentrant, uniquement, et de façon exclusive, au dossier qu'on lui amis entre les mains, et qui était celui du PLF, qu'il n'a, d'ailleurs, pas réussi tant que çà, soit dit au passage. On dirait, en effet, qu'il avait compris sa nomination comme un contrat à objectifs, et qu'il allait procéder par dossier. C'est normal venant de quelqu'un qui est habitué à évoluer dans le milieu des affaires bancaires, diriez-vous ! Et maintenant que le poste ne l'arrange plus, ou, on pourrait dire « maintenant que son but était atteint », il n'a plus aucune envie de continuer à se casser la tête dans des dossiers qu'il n'apprécie guère. Et pour ce qui est du but qu'il a atteint, s'était, tout simplement, et à l'instar de nombreux de ses collègues d'après 2011, de coucher sur son CV, une ligne glorifiante, attestant qu'il a été ministre au gouvernement tunisien. Il suffirait de voir avec quelle mine béate il affiche son statut sur les réseaux, pour comprendre que c'était, pour lui, l'objectif à atteindre. Maintenant, comme Ali Kooli a fait part de son intention de fausser le pas à son chef du gouvernement, probablement, aussi, parce qu'il savait qu'il était, de toutes les façons, sur le départ, n'ayant pas réussi à convaincre, il appartient à ce dernier de chercher la relève. Mais, de grâce, monsieur le chef du gouvernement, le pays a, réellement, besoin d'une « VRAIE » compétence, surtout en matière d'économie et de finances ! Partagez Tweetez Partagez 0 Partages Que se passe-t-il en Tunisie? Nous expliquons sur notre chaîne YouTube . Abonnez-vous!