La galerie de l'Institut français de Tunisie accueille, du 27 octobre au 26 novembre, l'exposition d'art vidéo «Video ergo sum» des artistes Ismaïl Bahri, Intissar Belaid, Wiame Haddad, Nicène Kossentini, Pauline M'barek, Mohamed Zanina. Ce rendez-vous artistique met en lumière les travaux d'une génération de vidéastes et d'artistes visuels tunisiens qui, depuis quelques années, expérimentent différents médiums et autres techniques de l'art vidéo et proposent des installations multimédias, des vidéos expérimentales . Une manière d'embrasser les différentes sensibilités qui se sont exprimées durant la dernière décennie, le plus souvent de manière disparate et précaire. Dans le cadre de cette exposition, deux films de Philippe Grandieux seront projetés à l'Institut français de Tunisie : «Il se peut que la beauté ait renforcé notre résolution-Masao Adachi», le mardi 1er novembre à 18h00 et «Malgré la nuit», le jeudi 3 novembre. Le travail de Grandieux s'étend sur de nombreux domaines à l'instar de l'expérimentation télévisuelle, l'art vidéo, le documentaire, les essais documentaires et l'installation.