La direction de Meublatex regrette profondément la mort d'un de ses employés et informe qu'elle a été naturelle et qu'elle n'a rien à voir avec le licenciement annoncé, puisque le regretté n'a pas été licencié. Dans un communiqué rendu public, la direction du groupe a démenti, lundi 02 juillet 2012, les rumeurs qui ont circulé à propos du décès d'un employé à la suite de son renvoi A cet effet, Meublatex a démenti « catégoriquement » les rumeurs véhiculées par des parties malintentionnées « qui veulent nuire à l'image de marque des sociétés du groupe ». Toujours selon le communiqué, la suspension de travail n'a concerné qu'une centaine de personnes dont 60 ont été licenciées pour fautes graves. La direction La fédération générale des métiers et des services relevant de l'UGTT, avait annoncé, la semaine dernière, que suite à la réouverture de la société, le propriétaire du groupe a contraint les ouvriers à retirer leur confiance au syndicat de base et a licencié 800 agents dont des syndicalistes. L'UGTT a précisé qu'un ouvrier licencié est décédé d'une attaque cardiaque et un autre employé qui travaille dans la filiale de Meublatex à Médenine a tenté de se suicider. L'union a dénoncé fermement les agissements de Néji Mhiri, propriétaire de Meublatex. Elle a dévoilé les dessous de l'affaire et la situation générale. Rappelons que les employés de l'entreprise avaient observé une grève de trois jours, du 18 au 20 juin 2012. Le groupe Meublatex a décidé de suspendre puis de reprendre progressivement ses activités dans l'ensemble de ses filiales. La direction de Meublatex informe, que la reprise du travail a été effectuée dans de bonnes conditions et que l'ambiance au sein du groupe est bonne.