L'affaire de Jilani Daboussi, homme d'affaires, médecin, ancien député et ancien maire de Tabarka, décédé juste après sa remise en liberté en mai 2014 de la prison de Mornaguia où il était incarcéré pendant plus de deux ans sans être jugé, est désormais entre les mains de la justice française. Le président de la République, Moncef Marzouki, l'ancien ministre de la Justice, Noureddine Bhiri, l'ancien ministre de la Santé, Abdellatif Mekki, les Chefs des gouvernements postrévolutionnaires, à savoir Béji Caid Essebsi, Hamadi Jebali, Ali Laarayedh et Mehdi Jomâa, ainsi que les deux médecins, Mondher Ounissi et Nadia Hellal, seront convoqués par la justice française pour être entendus dans cette affaire. Sami Daboussi, fils du défunt, a confié, Assabah News, que la justice française a reconnu officiellement que son père est décédé suite à son maintien en détention sans jugement malgré la détérioration de son état de santé. Il a ajouté qu'il détient un enregistrement audio d'une conversation avec le directeur du service de dialyse à l'hôpital militaire de Tunis qui prouve que l'ancien ministre de la Justice, Noureddine Bhiri, est intervenu à l'époque pour changer le contenu du rapport sur l'état de santé de son père par la médiation de l'ancien ministre de la Défense, Abdelkrim Zbidi. Investir En Tunisie
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