Les Etoilés ne sont pas contre l'idée de le céder. Reste à trouver un terrain d'entente avec le joueur Les rapports entre l'Avenir de la Marsa et l'Etoile du Sahel sont au beau fixe. Ce qui explique pourquoi les Marsois puisent essentiellement du côté de Sousse pour renforcer leur effectif. Après l'arrivée de Khaled Yahia et Lassaad Jaziri, un autre Etoilé pourrait débarquer à la Marsa. Il s'agit de l'attaquant malien, Michailo Dramé. Les dirigeants étoilés ne sont pas contre l'idée de le céder à l'ASM. Les dirigeants banlieusards attendent que Dramé soit mis officiellement sur la liste des départs pour entrer en contact avec lui. A suivre ! Il est à noter que beaucoup de noms de joueurs circulent, dont les «Sang et Or» Ben Mansour et Arbi Jabeur. C'est que les agents s'activent en proposant les services de leurs joueurs aux dirigeants marsois. Il est bon de rappeler que le président du club et l'entraîneur Mondher Kebaïer ont tranché : Jabeur ne viendra pas à la Marsa vu que Maher Laabidi, Karim Ben Amor ou encore Mohamed Ali Kosdoghli, occupent le même poste. Selon nos informations, la priorité du moment est de renforcer l'équipe par un troisième étranger dans le poste d'attaquant. Le recrutement d'un jeune défenseur sur trois ou quatre ans n'est pas à exclure. Reste à ce que les agents proposent le bon profil, bien que les Marsois ne sont pas pressés pour recruter un défenseur axial, vu que les solutions de rechange existent dans ce poste. Le ST et l'ESS en amical A ce jour, deux matches amicaux ont été confirmés : le 15 juillet contre le ST et le 29 juillet face à l'ESS à Sousse. Les Banlieusards attendent la confirmation du Club Africain, en vue de disputer une rencontre amicale ce vendredi. Enfin, les «Vert et Jaune» cherchent un sparring-partner pour la date du 20 juillet. Recherche président désespérément Décidément, les bénévoles ne courent pas les rues pour veiller aux destinées des associations sportives. Pour avoir le profil d'un bon dirigeant sportif, il faut se consacrer entièrement à la vie du club et savoir ramener des sponsors en ces temps de crise. Il faut avoir un minimum de consensus autour de sa personne, chose que Taoufik Ben Ncib, seul candidat qui s'est autoproclamé, n'a pas réussi à préserver. A ce jour, Ben Ncib n'a pas présenté sa candidature, faute d'avoir réuni 12 personnes autour de lui pour établir sa liste. Cela dit, la réunion d'urgence tenue au local du club, réunissant le président sortant et le comité des sages, n'a abouti à rien. Sollicités, les anciens dirigeants n'ont pas émis le désir de se présenter à la présidence du club. Béchir Louzir n'est pas très chaud pour présider le club. Hatem Zbidi a accepté le poste de vice-président quel que soit le nom du futur président de l'ASM. Quant à Hammouda Louzir, il n'a pas dit non, mais il n'a pas confirmé sa candidature non plus. Dans ce contexte de flou total, certains proches de l'entourage du club ont sollicité le président sortant, Maher Ben Aïssa, à poursuivre sa mission. Pour ce faire, il faut modifier les statuts du club qui stipulent qu'un président ne peut pas exercer au-delà de deux mandats de deux ans chacun. Le président sortant est catégorique : il passera le témoin le 15 juillet, date de la tenue de l'assemblée élective. Faute de candidat, Ben Aïssa a proposé la constitution d'un directoire intérimaire jusqu'à la tenue de nouvelles élections. Mais tant que les postulants ne se bousculent pas, le provisoire risque de durer. Affaire à suivre !