17 longs métrages, 13 courts et 16 documentaires figurent dans la compétition des JCC 2015, une liste à dominante africaine, à découvrir en intégralité. La 26e édition des Journées cinématographiques de Carthage s'approche à grands pas. Son directeur, Ibrahim Letaïef, et son équipe ont annoncé la liste des films en compétition cette année lors d'une conférence de presse tenue mardi dernier. Du 21 au 28 novembre, le public a rendez-vous avec 46 films, toutes sections confondues. 17 longs-métrages, 13 courts et 16 documentaires seront en lice pour le Tanit d'Or. Avant de révéler cette sélection, les organisateurs avaient annoncé les titres des films tunisiens qui en feront partie. Ils seront au nombre de trois dans la compétition des longs-métrages et trois dans les courts-métrages, le jury est composé du Marocain Noureddine Sail (président), de la Palestinienne Leïla Shahid, de la Chilienne Marcella Saïd, de la Tunisienne Anissa Barrak, du Nigérian Newton Adwaka, de l'Egyptien Oussama Faouzi et du Français Abel Jafri. Un seul film tunisien fait partie de la sélection officielle des documentaires, composée de films arabes et africains. Les longs-métrages de la compétition officielle sont, quant à eux à dominante africaine, avec, outre la Tunisie, le Mali, le Maroc, l'Afrique du Sud, l'Ethiopie, le Burkina Faso et l'Algérie. Il en est de même pour les courts-métrages qui représentent une diversité de pays africains et du Bahreïn. Voici la liste complète des films en compétition pour la 26e édition des JCC: Les longs-métrages «A peine j'ouvre les yeux» de Leïla Bouzid (Tunisie) «Les frontières du ciel» de Farès Naanaâ (Tunisie) «Dicta Shot» de Mokhtar Ladjimi (Tunisie) «O'ka» de Souleymane Cissé (Mali) «Things of the Aimless wanderer» de Kivu Ruhorahoza (Rwanda) «Al Tarik» de Rana Salem (Liban) «Letter to the king» de Hisham Zaman (Irak) «L'orchestre des aveugles» de Mohamed Mouftakir (Maroc) «L'œil du Cyclone» de Sékou Traoré (Burkina Faso) «Out of the ordinary» de Abdel Sayed Daoud (Egypte) «Necktie Youth» de Sibs Shongwe (Afrique du Sud) «Le puits» de Lotfi Bouchouchi (Algérie) «The Endless River» d'Oliver Hermanus (Afrique du Sud) «Dégradé» de Arab and Tarzan Nasser (Palestine) «Madame courage» de Merzak Alouache (Algérie) «Difret» de Zeresenay Mehari (Ethiopie) «Much Loved» de Nabil Ayouch (Maroc) Les films documentaires «28 nights and a poem» d'Akram Zaatari (Liban) «Brûle la mer» de Maki Berchache et Nathalie Nambot (Tunisie) «Coma» de Sara Fattahi (Syrie) «Coming of age» de Teboho Edkins (Afrique du Sud) «Contre-pouvoirs» de Malek Bensmail (Algérie) «Diaries of a flying dog» de Bassem Fayad (Liban) «Fi Rassi rond-point» de Hassen Ferhani (Algérie) «Homeland» d'Abbas Fahdel (Irak) «La sirène de faso fani» de Michel K. Zongo (Burkina Faso) «Moi, je suis avec la mariée» de Khaled Solimane Al-Nassiry (Palestine) «Out on the street» de Jasmina Metwaly et Philip Rizk (Egypte) «Queens of Syria» de Yasmin Fedda (Syrie) «Stray» de Ahmad Fostok (Egypte) «The council» d'Alabdallah Yahya (Jordanie) «The Road Bread» de Hichem Elladdaqi (Maroc) «Trip Along Exodus» de Hind Shoufani (Palestine) Les courts-métrages «Al Karnass» de Kamel Laaridhi (Tunisie) «Azays» de Ilias El Faris (Maroc) «Babor Casanova» de Karim Sayad (Algérie) «Diaspora» de Alaeddine Abou Taleb (Tunisie) «En dehors de la ville» de Rim Mejdi (Maroc) «Et Roméo a épousé Juliette» de Hinde Boujemaâ (Tunisie) «Malika et la sorcière» de Boureïma Nabaloum (Burkina Faso) «Terremere» d'Aliou Sow (Sénégal) «Lonely Fighter in the zone» d'Alaâ Hikal (Egypte) «Lmuja» d'Omar Belkacemi (Algérie) «Pick-up» de Saleh Nass (Bahreïn) «Monssonga, the Mocked One» de Lemohang Jeremïah Mosese (Lesotho) «Routine» de Sam Kessie (Ghana)