Le complexe sportif de Zarzis est encore en plein chantier. Les travaux ont débuté bien avant le renversement du régime et se poursuivent à l'heure actuelle. Deux entrepreneurs sont à pied d'œuvre, nous dit-on, mais l'avancement du chantier n'a pas dépassé les 60%. Une première tranche, d'un coût de 750 mille dinars, touche l'extension des gradins pour que la capacité d'accueil atteigne 5.000 places. Une deuxième tranche vise l'aménagement d'une tribune d'honneur, une salle de conférence, des vestiaires pour les arbitres et l'extension des gradins pour les visiteurs pour un montant de 750 mille dinars également. Outre ces travaux, il a été procédé à l'entretien et à la maintenance des pelouses du terrain principal et de l'annexe. Actuellement, l'enceinte du complexe est jonchée de matériaux de construction (planches, barres de fer, gravier, sable), avec des ouvertures sont partout dans la clôture externe du stade. Ainsi «il serait risqué de faire disputer le prochain match de l'ESZ dans ce stade», nous confie M. Tahar Labiadh, secrétaire général de la municipalité. Payés au dernier sou En dépit de la situation financière un peu difficile, l'ESZ a tenu à honorer ses engagements à temps. Tout son personnel a perçu son salaire du mois de mars, au cours de cette semaine. Les joueurs se sentent très motivés pour la reprise. Félicitations Le joueur Nadhir Maâtoug est aux anges. Il présente ses meilleurs vœux à son frère Bassem à l'occasion de la naissance de la jolie Yasmina.