Bye-bye à 2011, bonjour 2012. Certains auraient des pensées souriantes pour l'année qui s'éteint. D'autres, probablement pas pour la bonne raison qu'ils ou elles estiment être passés à côté. De toute façon, s'il arrive dans la vie de rencontrer le pire, il peut arriver aussi qu'on y croise le meilleur. En tout cas, les sages estiment que le bonheur est fait «des malheurs qu'on n'a pas». Traduisez que la loterie gagnante tous les jours, le bonheur qu'on ramasse en vrac comme du sucre en poudre, la joie permanente, n'y pensons pas. Ainsi, votre âge qui s'enrichit d'une nouvelle année vous donnerait-il une vague déprime ? Erreur… Car lorsque le cœur est jeune, on reste jeune quoi qu'en soit le calendrier. A moins que vous vous sentiez au pire de votre méforme à cause d'un chagrin sentimental. Dans ce cas, savoir que l'amour «c'est comme les bus. Si vous en ratez un, attendez le suivant», disait mère Thérésa, cette célèbre citoyenne du monde, une fontaine de bonté. Aussi, êtes-vous convié(e) à faire une cure d'enthousiasme, quand bien même l'occasion serait plutôt banale. Et place aux bons vœux de La Presse qui s'empresse de vous souhaiter, chères lectrices, chers lecteurs, de grands espaces de joie pour 2012. Et même pour plus tard. Les vœux de la Snipe A l'occasion de la nouvelle année grégorienne, la Snipe, société éditrice de La Presse et d'Essahafa, présente ses meilleurs vœux à l'ensemble du peuple tunisien, toutes tendances et courants politiques confondus, au président de la République, au chef du gouvernement et au président de l'Assemblée constituante, aux membres du gouvernement et aux élus de l'Assemblée. En cette nouvelle année qui s'annonce difficile, nous souhaitons aux nouveaux gouvernants plein succès dans l'exécution des programmes gouvernementaux et aux élus beaucoup d'inspiration dans la rédaction de la Constitution que le peuple attend avec une grande impatience.