Le rideau est tombé, dimanche dernier, sur la 25e session du Festival international des arts plastiques de Maharès qui ne cesse d'évoluer d'année en année sur le plan organisationnel, qualitatif, de l'originalité et de la variété des productions proposées (installations, sculptures, gravures, toiles, céramiques, tapis muraux, portraits, fresques murales...), grâce aux efforts soutenus de l'association du festival, présidée actuellement par le dynamique Mohamed Guedouar, du secrétaire général, Ismaïl Haba, qui veillent désormais, après la douloureuse disparition de Youssef Rekik, fondateur de ce festival, à la réussite de cette manifestation et, surtout, à la concrétisation d'un rêve tant caressé par le défunt, les artistes et les citoyens mordus d'arts plastiques : celui de la réalisation de la fameuse cité des arts de Maharès (qui n'a pas vu le jour) ou, à défaut, d'un grand complexe culturel doté d'un centre d'hébergement et de restauration. La concrétisation de l'un de ces deux projets, tant espérés et souhaités, placera la très attrayante ville de Maharès parmi les grands pôles mondiaux d'arts plastiques. Vernissage des productions des ateliers et distribution des médailles Cette année, il a été procédé, en premier lieu, au vernissage de l'exposition des œuvres réalisées dans les ateliers. Parmi celles qui ont retenu l'attention du public et dégagé de la créativité, citons celles de Nizar Daher (Liban), Rémy et Nathalie Aron (France), Mohamed Jalous (Jordanie), Yassine Samri et Daoud Essabâa (Algérie), Mustapha Kameleddine (Egypte), Souhaïl Boudour (Syrie), Leïla Malallah (Arabie Saoudite), Mohamed Chelbi, Amor Ghédamsi, Issa Hamrouni, Yosra Rekik, Aïcha Debiche, Beya Belarbi et Randa Daoud (Tunisie). Par la suite, et dans l'espace baptisé Sidi Bou Saïd de Maharès, il a été procédé à la distribution des médailles et des certificats de participation aux artistes et aux journalistes représentant divers organes d'information. La 25e session du Fiap a vécu. A la 26e...
