Les travailleurs de chantiers et du Mécanisme 16 de la région de Ben Arous se sont rassemblés, hier matin, devant le siège du gouvernorat, dans un sit-in pour demander la régularisation de leur situation professionnelle. Le secrétaire général adjoint du syndicat de base des travailleurs de chantiers et du Mécanisme 16 du gouvernorat de Ben Arous relevant de l'Union générale tunisienne du travail (Ugtt), Ridha Ben Nafla, a indiqué au correspondant de l'agence TAP dans la région que les protestataires demandent la régularisation de leur situation «d'une manière sérieuse et effective loin de toute forme sélective». Il a ajouté qu'ils demandent, aussi, au gouvernement provisoire «d'arrêter la signature de contrats sur la base du Mécanisme 16 qui est précaire et a un caractère illégal». Le responsable syndical a, en outre, souligné que les protestataires refusent l'allocation de 120 dinars qu'ils perçoivent mensuellement, et appellent à son augmentation au niveau du salaire minimum industriel garanti (SMIG), en attendant la régularisation permanente et définitive de leur situation. Par ailleurs, les participants au mouvement de protestation ont signé une motion contenant leurs revendications et l'ont présentée au gouverneur de la région qui a reçu une délégation les représentant. Il a promis de la transmettre aux autorités concernées, notamment la présidence du gouvernement provisoire et celle de l'Assemblée nationale constituante, ainsi que le ministre de la Formation professionnelle et de l'Emploi. Certains parmi les travailleurs ont fait part de leur intention de poursuivre le sit-in en attendant la réponse des autorités officielles. Le secrétaire général adjoint du syndicat de base des travailleurs de chantiers et du Mécanisme 16 du gouvernorat de Ben Arous relevant de l'Union générale tunisienne du travail (Ugtt), Ridha Ben Nafla, a indiqué au correspondant de l'agence TAP dans la région que les protestataires demandent la régularisation de leur situation «d'une manière sérieuse et effective loin de toute forme sélective». Il a ajouté qu'ils demandent, aussi, au gouvernement provisoire «d'arrêter la signature de contrats sur la base du Mécanisme 16 qui est précaire et a un caractère illégal». Le responsable syndical a, en outre, souligné que les protestataires refusent l'allocation de 120 dinars qu'ils perçoivent mensuellement, et appellent à son augmentation au niveau du salaire minimum industriel garanti (SMIG), en attendant la régularisation permanente et définitive de leur situation. Par ailleurs, les participants au mouvement de protestation ont signé une motion contenant leurs revendications et l'ont présentée au gouverneur de la région qui a reçu une délégation les représentant. Il a promis de la transmettre aux autorités concernées, notamment la présidence du gouvernement provisoire et celle de l'Assemblée nationale constituante, ainsi que le ministre de la Formation professionnelle et de l'Emploi. Certains parmi les travailleurs ont fait part de leur intention de poursuivre le sit-in en attendant la réponse des autorités officielles.