Lancés dans le bain, ils ont laissé les meilleures impressions Stade Hamda Laâouani. Temps chaud. Public peu nombreux. Pelouse en assez bon état. JSK- CSS (1-0) but de Laâouichi (72'). Arbitrage de Naim Hosni. JSK : Kalaï, Rebaï, Methnani, Keïta, Bnina, Laâmari, Sylla, Ragoubi (Abène), Dammak (Mehadhbi), Laâouichi, Chehaïbi (Manaï). CSS : Jridi, Hannachi, Maâloul, Derbali, Ammar, Jertila, N'dong (Sassi), Chatberi, Louati, Challouf, Bouazzi (Ben Youssef). Les deux équipes ont entamé la rencontre sans souci du résultat final vu que la JSK a assuré son maintien et les Sfaxiens se préparent à la prochaine échéance africaine. Le coach aghlabide a préféré donner l'occasion aux jeunes du cru pour participer à cette rencontre. Le match s'animait et les occasions des deux côtés ont donné du rythme. Les Sfaxiens, malgré l'absence de Ben Youssef et Sassi, se sont montrés plus dangereux, ils ont failli ouvrir le score suite aux efforts de Maâloul (6'), Ammar (26') et Louati (37'). Ces occasions ont averti le staff technique aghlabide qui a donné des consignes pour fermer les issues menant à leur but. En effet, les jeunes, Bnina et Rebaï ont montré une application défensive et ils ont annihilé toutes les montées offensives de Bouazzi et de Maâloul. En seconde mi-temps, Dragan a cherché à surprendre les camarades de Jeridi. L'entrée de Mehadhbi et de Abène a donné plus de vivacité aux attaques aghlabides. Au fur et à mesure que les minutes avançaient, la JSK domine son adversaire et les attaques de Chehaïbi et de Ragoubi ont pesé sur la défense sudiste. A la 70', un effort individuel du jeune Chehaïbi dans le dos de la défense a été stoppé par la défense. Le but de Laâouichi (72') a donné plus d'enthousiasme aux siens. La JSK a montré une application dans les différents compartiments du jeu : une rage de vaincre, des passes courtes, des attaques rapides et du beau jeu : les Aghlabides étaient plus incisifs que leur adversaire. Les jeunes ont rendu, une copie probante et ont été appréciés par le public présent. De leur part, les camarades de Maâloul avaient la tête ailleurs.