p class="p1" style="text-align: justify; text-indent: 8.5px; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 9.5px; line-height: normal; font-family: "Times New Roman"; min-height: 10px;" p class="p1" style="text-align: justify; text-indent: 8.5px; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 9.5px; line-height: normal; font-family: "Times New Roman"; min-height: 10px;" p class="p2" style="text-align: justify; text-indent: 8.5px; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 9.5px; line-height: normal; font-family: "Times New Roman";" « Jusqu'à quand ce "député", (Rached Khiari) continuera-t-il sa justification du terrorisme et ses incitations contre tous ceux qui sont en désaccord avec lui, ses collègues députés, ainsi que leurs familles, sans qu'il ne soit inquiété ? Jusque-là je ne peux qu'exprimer mon indignation quant aux agissements de Rached Khiari qui avait publié un statut avec une liste de personnalités médiatiques et académiques, dans lequel il a proféré des insultes à leur encontre, les accusant de trahison et d'être à la solde de la France. D'ailleurs, une pétition avait été signée au cours de la semaine pour dénoncer l'apologie du terrorisme dont a fait montre Rached Khiari à la suite de l'assassinat de l'enseignant Samuel Paty. Pour ma part, je le tiens pour responsable si quelqu'un parmi ceux qu'il a attaqué se trouve menacé dans son intégrité physique. J'appelle le parquet à agir sans délai. J'appelle aussi le bureau du Parlement à émettre un communiqué dénonçant ses agissements et à lever l'immunité dont il bénéficie si nécessaire ». p class="p3" style="text-align: right; text-indent: 8.5px; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 9.5px; line-height: normal; font-family: "Times New Roman";"Hichem Ajbouni (Député d'Attayar) p class="p1" style="text-align: justify; text-indent: 8.5px; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 9.5px; line-height: normal; font-family: "Times New Roman"; min-height: 10px;" p class="p2" style="text-align: justify; text-indent: 8.5px; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 9.5px; line-height: normal; font-family: "Times New Roman";"« Les mesures visant à vivre avec le virus n'ont pas donné les résultats escomptés. Seuls 40% des Tunisiens appliquent les mesures de prévention et de distanciation physique, alors qu'on ne peut limiter la propagation de la pandémie que si on atteint un taux de respect des mesures de 90%. Les services de réanimation dans les hôpitaux sont presque saturés et le nombre de patients qui ont besoin d'oxygène a dépassé les 1100. La situation nécessite des mesures plus rigoureuses au niveau de la prévention et du système de santé. Plusieurs pays avaient décrété l'état d'urgence sanitaire plaçant ainsi la santé en priorité nationale. Cela veut dire que les moyens financiers et humains sont orientés en premier vers la lutte contre la pandémie. Le couvre-feu n'a pas donné les résultats escomptés. Dans les meilleurs des cas, il réduit à 30% le nombre de contaminations, alors qu'aujourd'hui, le challenge est de réduire les décès. Pour ce faire, nous devons impérativement augmenter le nombre de lits de réanimation et décréter un confinement ciblé pendant quelques jours afin de casser la courbe de propagation ». p class="p3" style="text-align: right; text-indent: 8.5px; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 9.5px; line-height: normal; font-family: "Times New Roman";"Rafik Boujdaria (Directeur de l'unité de l'urgence à l'hôpital Abderrahman Mami) p class="p1" style="text-align: justify; text-indent: 8.5px; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 9.5px; line-height: normal; font-family: "Times New Roman"; min-height: 10px;" p class="p2" style="text-align: justify; text-indent: 8.5px; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 9.5px; line-height: normal; font-family: "Times New Roman";" « Tout d'abord, c'était au sujet de la candidature de Ghannouchi à sa propre succession à la tête d'Ennahdha fait actuellement rage, mais en douceur, au sein d'Ennahdha. Au fait, personne, quelle que soit sa position, n'est valable éternellement. Encore plus, l'article 31 du règlement intérieur d'Ennahdha interdit dans sa version actuelle, de siéger au-delà de deux mandats. Dans ce même contexte, seule l'alternance constitue la véritable échéance légale et éthique. Un quelconque passage en force sera synonyme d'un suicide. Par ailleurs, la possible désignation de Mohamed Gheriani, ancien SG du RCD dissout, en tant conseiller de Ghannouchi, là encore, nous n'avons pas été consultés. Les couches profondes d'Ennahdha n'ont pas approuvé cette décision. Je ne suis pas défavorable au fait que Gheriani détienne un rôle dans la Tunisie de l'après-2011. Or, cela ne signifie pas qu'il faut le charger d'un dossier qui le concerne directement – la réconciliation ». p class="p3" style="text-align: right; text-indent: 8.5px; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 9.5px; line-height: normal; font-family: "Times New Roman";"Samir Dilou (Député et chef du groupe parlementaire du parti islamiste à l'ARP) p class="p1" style="text-align: justify; text-indent: 8.5px; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 9.5px; line-height: normal; font-family: "Times New Roman"; min-height: 10px;" p class="p2" style="text-align: justify; text-indent: 8.5px; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 9.5px; line-height: normal; font-family: "Times New Roman";" « En ce qui concerne la conjoncture économique de la Tunisie, elle a connu une légère amélioration au cours du troisième trimestre mais en général, il est question d'un important repli historique. D'ailleurs, il n'y a que deux secteurs qui ont réussi à enregistrer de la croissance, à savoir : l'agriculture, les services postaux et dans une moindre mesure les télécommunications. Ce repli a été beaucoup plus important que dans de nombreux pays concurrents. Pour sa part le FMI a estimé que le taux de croissance de la Tunisie sera en baisse de 7%, mais, de son côté, il s'attend à ce que cette baisse dépasse les 7%. Les 7% sont déjà considérés comme une valeur importante de surcroit en comparaison à la baisse estimée dans l'Union européenne qui sera aux alentours de 4,4%. Dans le même sillage, la diminution des investissements, par exemple, est un facteur externe, qui affecte effectivement l'économie tunisienne et la fragilisé avant même la survenue de la crise sanitaire du Covid-19. L'investissement quant à lui diminuera de 10% de moins en 2020 ». p class="p3" style="text-align: right; text-indent: 8.5px; font-variant-numeric: normal; font-variant-east-asian: normal; font-stretch: normal; font-size: 9.5px; line-height: normal; font-family: "Times New Roman";"Abdelhamid Triki (Secrétaire général du Forum Ibn Khaldun)