L'usage de l'Internet permet des gains de temps incroyables. Grâce à cet outil, on peut aujourd'hui payer nos factures de l'électricité, du téléphone et autres sans se déplacer et faire la queue. On n'est pas, non plus, obligé de prendre une autorisation de sortie d'une demi-journée de travail pour passer à la STEG ou autre administration pour payer la facture. Ceci paraît formidable dans la mesure où le paiement électronique via internet fonctionne très bien. Le site de l'administration en question doit être quotidiennement mis à jour et actualisé. Malheureusement, ceci n'est pas le cas de la STEG. Le site de la Société Tunisienne d'Electricité et du Gaz n'est pas mis à jour. Un client n'ayant pas reçu la facture par voie postale, a consulté le site, s'est inscrit et a enregistré sa référence. Le montant à payer affiché sur internet au 15/février/2008 était 0.000. Le 19 février, il fut surpris par une coupure d'électricité à son domicile. Il se dirige directement à la STEG, et heureusement que les guichets, soient encore ouverts, il présente l'imprimé retiré sur le site à l'agent. Ce dernier lui répond tout simplement, que le site n'est pas actualisé. Le client a dû, quand même, payer 17dt supplémentaires, frais de coupure, alors qu'il se croyait être dans une situation très correcte et juste. Hier, nous avons consulté le même site et nous avons introduit une nouvelle référence et bien sûr, ce n'est toujours pas actualisé et les clients devront, paraît-il, payer à chaque fois les 17dt pour un travail non fait par la STEG et une négligence de sa part de l'importance de l'internet dans notre vie quotidienne d'aujourd'hui.