Une pétition signée par quelque cent supposés supporters de JS, dont des mineurs semble-t-il a été envoyée, ces derniers jours, à différentes instances politiques et administratives dénonçant de prétendus abus commis par Akremi, le président du club, et son bureau directeur. La missive en question pourrait à première vue ne pas paraître étrange si elle n'était pas entachée de nombreux vices relevant aussi bien de la forme que du contenu. D'abord au niveau de la forme : les signataires de la pétition ne sont pas adhérents à l'association et ne peuvent pas, de ce fait s'octroyer le droit d'en évaluer l'activité. Mieux encore, le président de JS n'a pas été élu, mais désigné par les hautes autorités régionales à qui, avec la poignée d'adhérents inscrits jusqu-là, revient le loisir de destituer Akremi ou d'en prolonger le mandat. Ensuite au niveau du contenu : les auteurs du pamphlet reprochent à celui qui a réalisé le double exploit de maintenir et de faire accéder en Ligue respectivement pétition en tout cas, sont connus de tout Jendouba. Morale de l'histoire : dans un état de droit pareille pétition constitue un grave précédent et il appartient à qui de droit de prendre les mesures et les dispositions qui conviennent. A suivre
Zaghdoud à la barre La nouvelle commission de hand-ball désignée par Akremi vient de recruter un nouvel entraîneur des seniors. Il s'agit de l'ex-mékeninois, l'Algérien Taoufik Zaghdoud. Celui-ci sera secondé par B. Yossri a qui revient le mérite d'avoir rassemblé les joueurs mécontents et d'avoir piloté la reprise des entraînements avant l'arrivée du nouveau sélectionneur.