Dans une école primaire étatique (oui, elles existent encore !), une écolière avait à peine passé deux semaines de cours quand sa maîtresse exigea d'elle et de quelques-uns de ses camarades qu'ils fassent des cours de rattrapage (ou particuliers). Comment cette enseignante a-t-elle jugé que la gamine avait besoin de cours ? D'autant plus que la dite écolière était parmi les premières de sa classe l'année scolaire écoulée. Le tout se passe en... deuxième année de l'enseignement de base ! Bien sûr, les parents se sont exécutés. Ils n'ont même pas osé en parler au directeur de l'école. L'année est longue et ils ne veulent pas contrarier la maîtresse. Comme dirait Laspalès "Y en a qui ont essayé, mais ils ont eu des problèmes". Reste à savoir, si les cours en classe ne suffisaient pas, pourquoi ces enseignants conscients de ce fait n'informent pas leur ministère pour changer ou rectifier les programmes, ... Même si cela pourrait affecter les revenus de chaque enseignant mais pas les parents !