Au retour vers Tunis, et suite à un acte de violence émanant d'un responsable local, le président du Stade Tunisien, Mohamed Dérouiche a développé des vertiges, des nausées et une légère désorientation temporo-spatiale, ce qui a nécessité dès son arrivée à la Capitale, son transfert immédiat vers les urgences orthopédiques. L'examen a révélé un hématome et une ecchymose au niveau de la région rétro auriculaire droite et une douleur exquise à la palpation. Devant la persistance des maux de la tête, un traitement adéquat lui a été donné et une observation neurologique lui a été prescrite. Ce geste primitif, inhumain, gratuit, antisportif par excellence n'engage que son auteur, le délégué de l'équipe de l'A.S.K. qui n'est pas à sa première incartade parait-il, et heureusement que tous les autres responsables s'en sont désolidarisés, puisqu'ils ont présenté toutes leurs excuses à la victime. Ils ont même promis de le radier et lui retirer toute leur confiance. Un comportement aussi inexplicable que débectant.