* Agression d'un chauffeur de taxi Une information est parvenue à la police, faisant état de l'admission d'une jeune fille poignardée dans une clinique des environs de Tunis. Les jours de la jeune fille n'étaient pas en danger et une petite intervention chirurgicale a rétabli la situation de la blessée. Mais, une enquête a été ouverte et les déclarations réunies ont permis de déduire qu'une altercation a éclaté entre deux jeunes hommes à cause de cette fille. Chacun des deux prétendants voulait la retenir pour passer la nuit avec lui. Constatant que le ton montait dangereusement, la fille a essayé d'intervenir pour mettre fin à cette dispute. Elle a alors reçu un coup de couteau par inadvertance. L'agresseur le destinait à son rival. La jeune fille s'était évanouie sur le coup et les deux jeunes hommes l'ont accompagnée à la clinique. L'enquête a, aussi, révélé que la victime avait des précédents de racolage et de prostitution clandestine. Elle a donné les noms des deux jeunes qui ont été interpellés. L'enquête suit son cours.
Agression d'un chauffeur de taxi Le tribunal de première instance de Tunis a condamné deux jeunes hommes à trois ans de prison ferme pour avoir dévalisé un chauffeur de taxi. Les deux accusés ont été arrêtés par les agents de police alertés par la victime du braquage. Le taxiste effectuait son travail normalement lorsqu'il a été hélé pour une course et les deux passagers lui ont indiqué leur destination. Quelque temps après, ils lui demandèrent de s'arrêter à mi-chemin. Et grande fut la surprise du chauffeur lorsque l'un d'entre eux, brandissant un couteau, lui ordonna de lui remettre la recette. Entre temps le deuxième passager a enlevé les lacets de ses chaussures pour tenter d'étrangler le taximan. Pris de panique, ce dernier a obtempéré aux ordres des délinquants, leur remettant le téléphone portable ainsi que la somme de 30 dinars. Leur forfait accompli, les deux malfrats s'évaporèrent dans la nature alors que la victime se dirigea vers le premier poste de police pour raconter sa mésaventure. Munis des signalements fournis par le plaignant, les agents ont réussi à arrêter les deux accusés qui avouèrent les faits et demandèrent pardon. Suite à leurs aveux, les deux malfrats ont été arrêtés et traduits devant un tribunal pour répondre de leur forfait. A l'audience, leur avocat sollicita les circonstances atténuantes en considération de leur situation familiale. La cour a condamné les deux accusés à 3 ans de prison chacun.