Le commerçant de vente des portables se tenait derrière le comptoir, quand un client bien habillé et qui avait l'air d'un homme bien aisé, s'est présenté devant lui. Il a acheté un téléphone portable au prix de 200 dinars et lui remit un chèque en exhibant sa carte d'identité. Cependant à l'encaissement, le chèque en question s'avéra objet d'opposition tel que l'affirma le banquier au commerçant. Ce chèque donc est falsifié. Une plainte alors a été déposée et le propriétaire de la carte d'identité a été arrêté. Il a été accusé de vol et de falsification de chèque. A l'audience, le jeune homme a comparu en état de liberté et déclara qu'il a subi un vol quelques années auparavant. Il affirma qu'il n'était pas la personne qui a volé le commerçant, mais il s'agissait d'une autre personne. Certes, celui qui a volé sa carte d'identité. Son avocate demanda le report de l'affaire à une date ultérieure pour une expertise afin de déterminer si le chèque est établi par son client ou par d'autres personnes. L'affaire a été reportée à une date ultérieure.