C'est un éleveur de la région de Gasâat de la délégation de Bouhajla propriétaire d'une étable pour l'élevage de vaches laitières et également pour l'engraissement des veaux qui fut dernièrement victime d'un vol perpétré en pleine nuit par des malfrats. Cet éleveur avait pourtant pris toutes les précautions nécessaires pour faire face aux attaques de ces noctambules avec notamment l'installation d'un système d'alarme qui ne se déclenche qu'une fois la porte de l'étable touchée (Système utilisé par les propriétaires de voitures) oubliant que les voleurs se moquent de tous ces systèmes et disposent de suffisamment d'astuces pour atteindre leurs objectifs. Le moment venu les voleurs laissèrent à coté la porte de l'étable et y pénétrèrent à travers une petite fenêtre d'aération se trouvant dans un autre coin de ce local. Ne pouvant faire sortir ces grosses bêtes ; les voleurs eurent alors l'idée d'égorger un veau. Ils le coupèrent ensuite en quatre morceaux et quittèrent un à un l'étable à travers la fenêtre bien sur avec le butin (en chaire). Le lendemain à l'aube l'éleveur fut surpris en remarquant la présence d'une grande mare de sang et des tripes de l'un de ses veaux. Il n'a fait que se diriger vers le poste de la garde nationale de la région pour déposer une plainte contre les voleurs. Au tour des vannes d'irrigation et des jeunes plants de tomates D'autres énergumènes ont profité dimanche derniers des pluies qui se sont abattues sur la localité de Jouaouda relevant administrativement de la délégation de Chebika pour s'attaquer aux superficies irriguées et équipées de vannes pour l'irrigation des cultures. Les voleurs à bord de leur camionnette sont parvenus à démonter un bon nombre de ces vannes avant de s'attaquer aux cultures sous serres ( serres pépinières) déracinant des centaines de jeunes pousses de tomates destinées à la replantation ou à la vente. Ces derniers quittèrent les lieux sans problèmes après avoir commis leur forfait. Ce n'est que le lendemain que l'un des agriculteurs de cette région constata les dégâts causés par ces malfrats. Les vannes qu'il venait d'installer dans son champ et qui lui ont coûté plus de trois mille Dinars ont disparu soudain. Il informa alors son voisin. Ce dernier en se rendant dans la serre plantée de jeunes pousses de tomates n'a pratiquement rien trouvé. Les deux agriculteurs se sont alors dirigés vers le poste de la garde nationale pour déposer plainte contre ces énergumènes imprenables.