Touché à une cheville mardi après midi, le milieu stadiste Majdi Mosrati, a dû sauter la séance d'hier se limitent à un travail spécifique dans la salle de musculation. Il est difficilement récupérable pour dimanche après midi, à l'occasion du match de coupe. Il est le deuxième joueur du Stade Tunisien à manquer ce rendez vous. Avant lui, Alves Leandro avait déclaré forfait. A Kalâa Sghira la formation stadiste sera amoindrie, puisque, à côté des blessés cités, le capitaine Saïfallah Hosni, aura à purger une suspension d'un match, mais, dans l'esprit du staff technique les solutions de rechange existent.
Un match à prendre au sérieux !
Avec le travail physique, tactique, et, technique, le staff du club du Bardo, n'a de cesse d'insister, auprès des joueurs retenus pour le déplacement à Kalâa Sghira, sur le côté mental. «Ce n'est pas parce qu'on joue contre un club divisionnaire qu'on doit le prendre de haut. Pas question d'être hautain. L'épreuve de coupe est le théâtre de rêve de tous les clubs.» ce sont là les recommandations de Patrick Liewig, et, de ses adjoints Adel Zouita, et, Ouassim Moalla. Ils n'ont pas tout à fait tort, d'autant plus qu'à chaque saison, sont enregistrées pas mal de surprises. Comme quoi un prévenu en vaut deux.
Qui est la taupe ?
Il est connu de tous que Patrick Liewig est très exigeant de ses joueurs que ce soit lors des répétitions, ou, lors des matchs officiels. En dehors des terrains, il est la crème des hommes. Quand il donne de la voix, il faut s'appliquer, faire comme le marin, se mettre à la cape, et, attendre que passe l'orage. Il y a au Stade Tunisien, au moins un joueur qui ne l'a pas compris, puisqu'il a pris son ‘courage' des deux mains, et, s'est allé plaindre auprès d'un journaliste qui l'a rapporté sur ses colonnes. Pour qui se prend ce joueur? Mardi après midi, aucun joueur approché n'a été téméraire pour reconnaitre son tort. En tous les cas, il n'est pas sorcier de deviner de qui il s'agit. Il doit certainement être un joueur en échec, que le Stade Tunisien a sauvé, puisqu'il lui a permis de rebondir. Qu'il fasse une autocritique, et, reconnaisse les dégâts causés. S'il a envie de partir, comme il le pense pas haut, et, pas fort, personne ne le retiendra.