L'histoire commence par le déplacement d'une jeune fille chez un cousin, sur ordre de sa mère, et ce pour l'aider dans certains travaux ménagers surtout qu'il allait se marier dans quelque temps et était occupé aux préparatifs à cet effet. Mais dès que la jeune fille se présente il fut obnubilé par l'idée d'assouvir ses bas instincts, au point d'oublier qu'elle est là pour l'aider aux préparatifs de mariage et qu'elle faisait presque l'âge de sa fille. Aussi arriva-t-il, profitant de l'ascendant qu'il estimait avoir sur elle en tant que patron, à l'amener à se donner à lui à plusieurs occasions. La fête de mariage terminée, la jeune fille engagée par un contrat à durée déterminée, réintégra le domicile de ses parents sans en dire mot à ceux-ci de sa mésaventure avec le gougeât. Cependant, au fil des jours, elle constata que son ventre augmentait de volume. Au neuvième mois, elle ne pouvait cacher cet évènement à ses parents, qui, à la naissance du bébé, étaient curieux d'en connaître le géniteur, qui a abusé de leur fille innocente. Mais celle-ci incitée par son patron, indiqua une autre personne à la place du vrai coupable. Interpellée, cette personne soutint mordicus qu'il ne connaissait même pas la jeune fille et qu'en tout état de cause, il n'avait eu aucune liaison avec elle. Il clama, de ce fait, haut et fort qu'il n'était nullement le géniteur du bébé. Qu'à cela ne tienne ! l'analyse de l'ADN permettrait de vérifier la véracité de ses dires. Aussi, le jeune homme s'était-il soumis à cette analyse sans hésiter ni rechigner. Résultat : le bébé n'était pas de lui. Mais de qui était-il, alors ? En tout cas, il n'était pas arrivé par une opération du Saint Esprit. La jeune fille cuisinée par les enquêteurs a fini par craquer en déclarant que le vrai géniteur du bébé était son ancien patron. Elle avait tu son nom, déclara-t-elle, suite aux tensions et aux menaces de celui-ci qui sera, d'ailleurs, soumis à une analyse ADN dans les jours qui viennent.