Arrestation d'une bande de criminels ayant séquestré un jeune et demandé une rançon à sa famille Les unités de la garde nationale du gouvernorat de Jendouba ont arrêté dans la localité de Bir Lakhdhar (Délégation de Boussalem), une bande de quatre criminels qui avaient kidnappé un jeune dans une forêt de la région, dans la nuit du jeudi à vendredi, l'ont violenté et demandé une rançon à sa famille. Une source sécuritaire à Jendouba a indiqué que les quatre individus ont été arrêté alors qu'ils étaient en train de barrer la route pour voler et terroriser les citoyens en faisant usage d'armes blanches. Selon les premiers éléments de l'enquête, les prévenus ont des antécédents judiciaires. Ils ont été placés en détention. Il est à noter, cependant, que la situation sécuritaire s'améliore de jour en jour dans le gouvernorat de Jendouba.
Arrestation de 232 individus dans des campagnes de sécurité conjointes Les campagnes sécuritaires menées conjointement par les unités de la sécurité publique, de la garde et de l'armée nationales, dans les différentes régions du pays, au cours des deux derniers jours, ont abouti à l'arrestation de 232 individus. L'implication des personnes arrêtées a été prouvée dans des crimes divers, notamment des meurtres prémédités, agressions, destructions de biens de citoyens, vols et pillages. Le ministère ajoute, dans un communiqué diffusé, samedi, que parmi ces individus, certains sont impliqués dans des affaires de port d'armes blanches et incitation au désordre, alors que six sont des détenus évadés qui ont été remis e prison. Le communiqué indique, d'autre part, que les unités de la garde nationale ont arrêté quatre autres individus pour détention, consommation et trafic de drogue.
Les criminels et le cow- boy argenteur Ce paisible orfèvre, artisan et aussi industriel en argenterie à la Soukra va devoir commercialiser l'armature de Lancelot et en fabriquer une pour lui. Il ne le fera pas pour lancer une mode, mais pour se protéger contre les criminels. Il y a quelques jours, il alla retirer une somme d'argent auprès de sa banque à la Marsa. Il retourna illico presto à son atelier à la Soukra… L'argent (dans son sac) est resté dans la voiture… Mais tapis dans un coin, comme des crocodiles, deux malfrats attendent… Rétrospectivement ils l'avaient suivi dans tout son itinéraire. Ils sautent sur la voiture, s'emparent du sac et prennent la poudre d'escampette sur une moto. L'argenteur actionne le moteur et les prend en chasse. « Le cortège » arrive à hauteur de Carrefour empruntant des voies tortueuses. Les gangsters changent alors de manœuvre sur la route de la Marsa : ils roulent en sens interdit. Il les suit… et à un certain moment il les renverse. Il saute sur le malfrat qui avait en sa possession le sac. Il s'accroche à lui avec l'énergie du désespoir alors que l'autre le ruait de coups. Cela dura un certain moment avant que des gens n'interviennent. Les deux criminels cherchèrent à faire démarrer la voiture : celle-ci se rebiffe, elle est automatique. Ils prirent ainsi la fuite laissant notre argenteur dans un état déplorable – carrément défiguré, dents cassées – mais quand même agrippé à son argent. Beaucoup de courage, de la chance aussi. Cela aurait pu tourner au tragique. En ces temps d'insécurité, il n'existe guère d'agressions banales. Les criminels sont capables de tout. Les honnêtes citoyens, eux, ne peuvent pas s'improviser cow-boys