Arrêter de fumer non pas une seule journée, le 31 mai de chaque année, mais tous les jours de l'année. Car fumer de nos temps est un signe impropre à nos fructueuses connaissances et nos parfaits comportements modernes. Maintenant, on sait que la pratique du sport ou d'une activité physique, comme la marche, est un encouragement supplémentaire pour améliorer, réciproquement, l'endurance, la forme et le bien être en général, et procure une motivation favorable pour arrêter de fumer. Les compensations, à cette attirance insignifiante de vouloir retirer et allumer une cigarette ou mimer un geste anodin et de manie, sont paraît-il nombreuses, tel que boire des jus de fruits ou de quelques légumes, davantage d'eau, voire de bouffer plus, même si cette dernière notion, apparaît à d'autres avis, pas évidente et contrôlable, laquelle activité physique, sera de même nécessaire pour contrôler la stabilité des calories de l'organisme, ceci d'une part. D'autre part, arrêter de fumer procure également un bien-être, et cette notion contredit, le devenu communément un aphorisme, l'énervement excessif. Car, paradoxalement, l'être humain à l'aide de son raisonnement, est capable de maîtriser ses nerfs normalement, à moins que le tabac n'est devenu une cause de dérangement incontrôlé, ce qui rend alors, de nos jours, plus grave les méfaits du tabac. De ce fait, les facultés de réflexions de l'hominidé dépassent les influences d'un bout de bois ou d'un vase d'eau bouillonnant en parlant du narguilé, et dont les suites de leurs méfaits, sont instantanément démolisseuses, donc cette attitude d'éviter de s'enfumer et d'enfumer les autres, est contrôlable spontanément. Il serait aussi opportun, pour se mettre au diapason du domaine médical et des formulations des hygiénistes, quant au sujet de l'arrêt instantané de fumer, de consulter un médecin à titre d'une visite thérapeutique exceptionnelle d'intoxication du tabagisme et contrecarrer, ainsi, les séquelles des méfaits, indiscutables, du tabac. Avec l'arrêt de fumer, résulte en prime, un principe connu, celui d'épargner la bourse et d'éviter les gênes indirectes, aux autres personnes, dues aux fumées de tabac, d'ailleurs l'idée de sortir les fumeurs dehors, est déprimante. Fort heureusement les fumeurs sont disciplinés dans ce contexte et respectent autrui, la majorité d'entre eux, demande soit en automobile ou dans un lieu public, pas esprit de savoir-vivre, la permission de fumer. Mais, il viendra un jour, lorsque les gens oublieront à jamais cette fâcheuses habitude de fumer, et que l'on s'étonnera, même, qu'il y avait d'autres gens qui fumaient, et qu'actuellement les actions de sensibilisation pour endiguer ce fléau sont devenues courantes, comme celles de sensibiliser les jeunes, voire les réprimander avec rigueur et fermeté, et de prévenir les tous petits prématurément. Car réellement rien qu'à voir ces jeunes, pour ne pas dire ces enfants, fumer, cela fait mal au cœur à tout le monde. D'un autre point de vue, les parents savent que lorsqu'ils fument, leurs enfants peuvent, potentiellement, devenir des fumeurs en héritage. Arrêter de fumer est sur le point de rentrer dans les mœurs, et rien qu'à voir ceux qui ont arrêté de fumer, soit de leur propre gré ou par le biais d'un médecin cela réchauffe les cœurs. Fini, donc cette mauvaise haleine, que ce nervosisme parte en fumée et qu'il devienne facilement maîtrisable.