L'accusé dans cette affaire est jugé pour violences sur la personne d'un ascendant, ivresse et tapage actes qui ont troublé la tranquillité des citoyens. Il buvait des nocturne est accro à l'alcool jusqu'à en perdre connaissance. Son père, le voyant se comporter de cette façon, lui fit des reproches acerbes, qui ne plurent pas au rejeton. Dans une crise d'hystérie, le fils indigne se mit à dévaster la maison, à briser les portes et tout ce qu'il trouvait sur son passage. Allant même jusqu'à agresser ses parents les couvrant d'insultes et d'injures, avant de sortir pour terminer son manège ailleurs. Son père, ne trouva d'autre solution que de porter plainte contre ce fils incontrôlable. Heureusement qu'une ronde de police s'est aperçue de cet ivrogne invétéré en train de semer la panique parmi la foule. Son état d'ébriété avancé lui ayant fait perdre sa lucidité, il ne s'est pas contenté d'agresser son père, mais il sortit pour menaçer les passants avec un couteau bien affilé. Arrêté et déféré au parquet, l'inculpé nia les faits de tapage et d'attentat aux bonnes mœurs, confirmant l'ivresse. Lors de l'interrogatoire, il demanda pardon. Quant au couteau, il indiqua purement et simplement que c'était un outil de travail. A l'audience, il nia les faits concernant les violences commises sur la personne d'un ascendant soulignant qu'il se disputait avec son frère, quand son père intervint pour faire cesser la querelle. Il sollicita le pardon de son père et du juge. La cour le condamna à 8 mois pour propos blasphématoires et violences 15 jours pour ivresse notoire et 15 jours pour tapage nocturne.