Une organisation financée par des capitaux européens et américains qui sentent l'international sionisme. Les Femen sont payés pas moins de 1000 dollars par mois selon une journaliste d'investigation ukrainienne. Tous les voyages des activistes à travers le monde sont pris en charge par l'organisation financée entre autres par le juif Jed Sunden. Amina croupit en prison. Dommage, l'organisation des ‘'seins nus'' manque de figurantes. Femen, l'organisation internationale dont l'adolescente se revendique, viendrait à sa rescousse avec un ‘'bal de seins nus'' en plein centre de Tunis. Les Tunisiens, conservateurs par essence, ne sauront, dans les faits, à quel ‘'sein'' se vouer. L'information a circulé, il y a quelques jours et a fait braquer tous les regards sur la famille de l'activiste qui s'est expliquée du scandale que le comportement, pour le moins, irresponsable de leur fille a pu provoquer. Sans forcer le trait, il faut avouer que le témoignage poignant apporté par la maman de l'activiste tunisienne des Femen est douloureux. La maman qui s'est exprimé sur la chaîne de télévision ‘'Ettounssia'' a avoué que sa fille souffre de « troubles psychologiques depuis sa première année secondaire et qu'elle est suivie en hôpital psychiatrique. » Elle a confié également que sa fille est également « manipulée » par l'organisation des seins nus. Et c'est là que le bât blesse et que l'on se demande sur ce que peut cacher une organisation qui choisit des seins nus pour défendre les droits de la femme. Une organisation a fortiori sioniste Dans une information rapportée par le site ‘'propagandes. Info'' on peut apprendre que l'organisation Femen à l'origine ukrainienne, est financée par des hommes d'affaires européens et américains dont le sioniste Jed Sunden. Le site qui cite sa source ‘'la voix de la Russie'' montre également qu'une journaliste de télévision ukrainienne a infiltré ce réseau en se faisant passer pour une activiste et a pu filmer des scènes en caméra cachée. Il en est déduit que « les membres du FEMEN sont payées pas moins de 1000 dollars par mois, le triple du salaire moyen en Ukraine… » Toujours selon la journaliste d'investigation ukrainienne « les activistes suivent pendant plusieurs semaines une initiation professionnelle à l'art de la scène et aux relations publiques pour apprendre à se comporter agressivement et de ce fait attirer l'attention des journalistes et se présenter comme une victime innocente. » Pour « La voix de la Russie » la journaliste Alexandra Lasta critique la dérive politqiue des Femen un mouvement qu'elle dit encouragé par le « mainstream médiatique et éloigné des préoccupations populaires et nationales » L'organisation a fortiori sioniste se dit défendre les droits de la femme alors que les sorties en public de ses activistes se sont résumés à s'attaquer à la religion, notamment l'Islam. La dernière manif devant la mosquée de Paris en est un exemple. D'une manière générale les femelles du Femen portent sur leurs corps des inscriptions blasphématoires du genre « Fuck Allah ». Nécessité du contrat oblige, dans les figurantes de l'organisation défendraient le droit des gays et le droit au libertinage mais jamais la liberté de la femme et son droit à une vie digne où qu'elle soit. Une démarche critiquée sur le plan international par des associations voire même féministes qui trouvent dans ce comportement une humiliation de la femme qui se réduit à un objet. On peut citer l'exemple de l'ONG internationale ‘'La STRADA'' spécialisée dans la lutte contre la prostitution et qui rejette l'idée de voir des Femen user de la nudité comme moyen d'action. La dite organisation considère que les Femen nuisent à l'image de la femme et qu'elles confortent ainsi les clichés sexistes. Morale de l'histoire : Amina, rhabillez-vous. Une prostituée satanique n'est jamais une activiste féministe. Mona BEN GAMRA
