Avant de mettre le cap sur la ville de Sfax cet après-midi en vue du classico CSS-ESS qui aura lieu demain sur la pelouse du stade Taïeb Mhiri, Faouzi Benzarti ,son staff technique et les joueurs auront effectué une dernière séance ce matin. L'occasion pour le coach étoilé, probablement, d'arrêter le onze rentrant qui affrontera le CSS pour le compte de la 25ième journée du championnat de la Ligue 1. La délégation sahélienne passera la nuit à Sfax avant de se présenter au stade deux heures avant le coup d'envoi. Ceci dit , le latéral droit, Hamdi Nagge,z suspendu, ne sera pas sur la liste des convoqués pour ce classico. Absent lors du dernier ESS-JSK, le joueur purgera sa peine avec le match de demain. Tout comme l'avant centre brésilien, Diogo Acosta, quia écopé d'un troisième carton jaune suspensif d'un match. Mis à part ces deux absences, le staff technique disposera de la totalité de son effectif. Benzarti sera sur le banc Absent du banc lors de la dernière sortie africaine de l'équipe en coupe de la CAF face aux gabonais de Mounana FC, l'entraineur de l'Etoile, Faouzi Benzarti, reprendra sa place pour diriger son équipe dans un match s'il n'est pas décisif il n'en est pas moins important. La 120ème entre les deux équipe Cent-vingtième confrontation du genre entre les deux équipes, l'ESS et le CSS, ce match sera d'autant plus intéressant qu'en cinquante neuf confrontations déroulées à Sfax, étoilés et Sfaxiens se partagent équitablement le nombre de victoires (18 victoires chacun, 23 parités ). Aussi, la lutte entre l'actuel leader, ESS et son dauphin, le CSS sera encore plus intense. Le Fair play d'abord ! Personne ne peut nier l'importance et surtout le charme qui caractérise les classiques en général. On sait également qu'ils sont généralement précédé de campagnes de communication tendant à intimider voire introduire le doute dans le camp adverse, ce qui en soi de bonne guerre (toute proportion gardée !) tant que l'éthique sportive est bien préservée. Mais quand elle va jusqu'à l'interdiction d'accès au public adverse ou tel ou tel dirigeant de l'adversaire, cela sort des limites du « Sportivement acceptable ». C'est au demeurant ce que d'aucun ne souhaite.