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Scène honteuse pour l'humanité : à Gaza, une fillette mange du sable pour survivre à la faim !
Publié dans Tunisie Numérique le 02 - 01 - 2026

À Gaza, le drame humanitaire atteint un niveau de cruauté inqualifiable. Alors que la guerre israélienne approche de sa deuxième année, les habitants de la bande de Gaza endurent un nouveau chapitre d'horreur : celui de la famine, silencieuse mais implacable, qui tue sans bruit et sans distinction.
Depuis dimanche matin, les conséquences de la faim ont pris une tournure dramatique avec l'annonce du plus grand nombre de décès liés à la malnutrition, ou survenus sous les balles de l'armée israélienne lors des distributions d'aide alimentaire — prétendument humanitaire — par les Etats-Unis et Israël.
Sur les réseaux sociaux, des images insoutenables circulent, illustrant cette phase extrême de privation imposée par un blocus israélien étouffant. On y voit des enfants agonisants, des familles réduites à manger des feuilles, des animaux ou... du sable.
Une scène en particulier a provoqué une onde de choc et une immense colère. On y voit une petite fille, âgée d'environ cinq ans, assise devant une tente de fortune dans la ville de Gaza. Elle tient un caillou dans sa main, qu'elle utilise comme une cuillère pour ramasser de la poussière et du sable qu'elle porte à sa bouche. La terre est devenue sa nourriture. Cette scène glaçante résume toute la brutalité d'un monde qui a abandonné les plus vulnérables à leur sort.
Dans un autre témoignage poignant, un père effondré pleure son fils, abattu à Zikim, au nord de Gaza, alors qu'il tentait désespérément de récupérer une aide alimentaire. Le corps de l'enfant, émacié par la faim, gît ensanglanté. Son crime ? Avoir eu faim.
À Gaza, la famine est devenue une arme de guerre. Une stratégie cynique visant à briser la population, à la pousser à l'extinction lente, dans le silence d'une communauté internationale largement indifférente, voire complice.
Il ne s'agit plus seulement d'un conflit armé, mais d'une véritable politique d'extermination, où les bombes ne sont qu'un volet d'un arsenal plus vaste : le siège, la soif, la privation de soins, et maintenant, la faim.
Ce que vit Gaza aujourd'hui ne peut être décrit que comme une honte pour l'humanité. Quand un enfant mange du sable parce qu'il n'a rien d'autre, ce n'est pas seulement Gaza qui meurt — c'est notre conscience collective.
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