L'association Human Rights Watch a appelé les autorités tunisiennes à réviser la loi criminalisant la diffamation et à l'adapter aux normes internationales. Dans un communiqué publié sur sa page officielle, l'association a indiqué que la diffamation doit se poser comme une question civile et non comme un crime passible de prison. HRW ajoute dans son communiqué que les personnalités publiques devraient davantage tolérer la critique que les simples citoyens même si elles se gardent le droit de protéger leur réputation.