Devant la tournure qu'ont connue les évènements dans la région du Jebel Châambi, et probablement, devant les différentes déclarations des agents des forces de sécurité intérieure, témoignant d'un début de ras le bol, et d'accusations envers leur hiérarchie qui leur aurait intimé l'ordre de ne pas tirer sur les terroristes débusqués. Il a été décidé, lors du dernier conseil ministériel consacré au sujet, de décréter la zone de Jebel châambi, zone d'exclusion militaire. De ce fait, un groupe armé d'élite a été dépêché sur place, composé d'éléments relevant du GIM (Groupe d'intervention Militaire), qui ont pris position dans le maquis avec un retrait total des agents de la sécurité intérieure.