14 personnes appartenant à des courants extrémistes ont été traduits devant la brigade anti-terroriste de l'Aouina, a annoncé, mercredi, le ministère de l'Intérieur dans un communiqué. Ils sont accusés dans une affaire d'enrôlement et de recrutement de réseaux pour les zones de conflit et du djihad. Ils sont natifs des régions de Gabès, Médenine et Tataouine. Les enquêtes se poursuivent.