Amnesty International, estime, dans un rapport, que la Russie a tué "des centaines de civils" et s'est rendu coupable "de possibles crimes de guerre" lors de ses raids aériens. De son côté, Moscou rejette les accusations de l'ONG sur ses frappes en Syrie. Ces accusations sont gratuites et sans fondement, d'après le porte-parole du ministère russe de la Défense qui souligne que ce rapport a été établi à distance, lors d'entretiens par téléphone. Sur Twitter, le ministère russe de la Défense a également invité Amnesty International "à révéler les sources lui ayant donné ses "supposées données" ou la Russie le fera".