Le président américain a mis en cause Moscou dans les cyber-attaques ayant perturbé l'élection présidentielle américaine. Moscou et Washington n'auront jamais connu de trêve sous le mandat d'Obama. Le président américain n'a pas ménagé son homologue russe durant tout exercice à la tête de la Maison-Blanche même lors de son dernier discours à la Maison-Blanche. S'exprimant, vendredi, lors de sa dernière conférence de presse, Barack Obama a tiré à boulets rouges sur Moscou et sur le président russe Vladimir Poutine. Le président américain a d'abord mis en cause la Russie dans les cyber attaques ayant perturbé l'élection américaine et favorisé, selon lui, la victoire du républicain, Donald Trump. Il a, par ailleurs, évoqué la responsabilité de Vladimir Poutine dans le conflit syrien, qui a causé la mort de centaines de milliers de personnes et a taxé la Russie de « petit pays ». En dénonçant l'autoritarisme du chef du Kremlin, le président américain a sommé la Russie d'arrêter les cyber-attaques et a mis en garde contre des « conséquences sérieuses ». Il a, également invité son successeur Donald Trump a accepter une enquête « bipartite et indépendante » sur les piratages russes.