Le porte parole du tribunal de première instance de Tunis, Sofiene Selliti, a annoncé, ce mercredi, au site Akherhabar Online, que le parquet n'a pas encore ouvert d'enquête judiciaire en rapport avec les révélations et les accusations faites, il y a deux jours, par le comité de défense des martyrs Chokri Bélaïd et Mohamed Brahmi, et qui accusent le mouvement d'Ennahdha d'avoir mis en place un appareil secret, qui serait derrière ces assassinats politiques. Selliti a ajouté que ceux qui sont en possession de documents quelconques, devraient les transmettre à la justice, qui se fera un devoir de les examiner.