« Il est capable de tout ». C'est la Une de la majorité des journaux algériens ces derniers jours. Il s'agit du président de la FECAFOOT, Samuel Eto'o. Avant un mois des chocs barragistes du Mondial 2022, et la double confrontation Cameroun – Algérie, la tension est au top de la part des deux côtés. Alors que le responsable camerounais est dans une course contre la montre pour officialiser la désignation de Rigobert Song aux commandes techniques des Lions Indomptables, chez les fennecs, que des accusations qui demeurent très graves passibles de poursuites judiciaires pour diffamation et diffusion de fausses informations. Pourquoi ? Le douteux choix des camerounais de jouer l'aller contre les algériens sur la pelouse de Japoma. Prenons l'exemple du journal sportif algérien "Compétition", où on lit : "On a tous vu comment Eto'o a fait le forcing pour faire passer le choix de Japoma. Malgré les réticences de la FIFA, il a atteint son objectif comme il l'avait atteint fin décembre quand il a fait plier Infantino et la CAF pour valider leur CAN et les dates initialement prévues. Plus tard d'ailleurs, on apprendra que des sommes faramineuses ont été déboursées pour convaincre les décideurs de la nécessité de maintenir la CAN". Que se passe-t-il en Tunisie? Nous expliquons sur notre chaîne YouTube . Abonnez-vous!