Les responsables politiques de gauche en France ont vivement condamné l'intensification des bombardements sur la bande de Gaza, survenue dans la nuit de vendredi à samedi. L'armée israélienne a annoncé avoir franchi une nouvelle étape dans son conflit avec le Hamas, provoquant une réaction en chaîne de condamnations. Jean-Luc Mélenchon, chef de file de la France insoumise, a qualifié les bombardements de "massacre de masse en cours à Gaza" et a critiqué les puissances mondiales pour ne pas imposer un cessez-le-feu. Marine Tondelier, présidente d'Europe Ecologie – Les Verts, a exhorté la France et la communauté internationale à mettre fin immédiatement à ce "massacre de masse". D'autres leaders politiques de gauche, comme Sandrine Rousseau, ont dénoncé des "crimes de guerre répétés", tandis que Fabien Roussel, secrétaire national du Parti Communiste Français, a souligné que le droit international était bafoué. La présidente du groupe France insoumise à l'Assemblée nationale, Mathilde Panot, a déclaré un "nettoyage ethnique" commis par des "criminels" à Gaza. Les députés de la France insoumise, Louis Boyard, ont également exprimé leur consternation face à la situation à Gaza, décrivant un "déluge de feu" alors qu'une intervention militaire terrestre se profile à l'horizon.
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