Cette fois c'est officiel : Les pourparlers pour libérer les otages enlevés le 7 octobre dernier en Israël n'ont "jamais été aussi proches d'un accord". C'est le porte-parole du ministère des Affaires étrangères du Qatar, Majed Al-Ansari, qui l'a affirmé ce mardi 21 novembre. Et on peut le croire vu le poids de Doha auprès du Hamas en tant que gros contributeur dans les caisses, à ajouter au fait que le bureau politique des islamistes palestiniens a trouvé refuge au Qatar… Le bruit court depuis belle lurette, même le parrain d'Israël, le président américain Joe Biden, en a parlé dernièrement. Rappelons que le Premier ministre israélien Benjamin Netanyahu en a fait une condition sine qua non pour stopper temporairement les frappes massives sur Gaza. Peut-être que tous les otages ne seront pas libérés d'un coup mais on parle d'une cinquante, ce qui devrait permettre d'arracher ce cessez-le-feu de quelques jours que la communauté internationale réclame énergiquement. Les discussions ont atteint une "phase finale", a indiqué le porte-parole de la diplomatie qatarie. Les négociations, sous la houlette du Qatar mais également des Etats-Unis et de l'Egypte, sont passées à la vitesse supérieure cette semaine. "Nous nous approchons de la conclusion d'un accord de trêve" en échange de la libération des otages, a confirmé ce mardi le leader du Hamas Ismaïl Haniyeh. Dans le même temps Washington se disait "confiant" même si "tout n'est pas fait"…
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