Via un post Facebook, le chroniquer Haythem Mekki s'est indigné contre «le blanchiment de la corruption», selon ses dires. Avec un ton satirique, Haythem Mekki demande pourquoi autant de lois et de formations juridiques alors que les accusés des corruptions reviennent à leurs prestigieuses positions, dès qu'ils quittent la prison. Il rappelle le cas de Borhane Bsaies, qui, juste après une amnistie spéciale, il devient chroniqueur à Attessia TV. Mekki a mis la lumière aussi sur le cas de Samir El Wafi, journaliste chargé d'interviewer les candidats à la présidentielle alors qu'il est accusé dans cinq affaires d'arnaque et de chantage. Haythem Mekki accuse tout le monde (partis, organisations et société civile…) pour leur silence général par rapport au sujet.