La chef du Parti constitutionnel libre, Abir Moussi, et plusieurs membres de son bloc ont condamné la poursuite des activités de l'Union internationale des savants musulmans dans la capitale. Des tensions et affrontements ont été enregistrés entre le sit-inneurs du parti et un certain nombre de femmes enseignant dans l'Organisation. Moussi a déclaré que les autorités n'avaient pas appliqué la loi qui imposait la fermeture temporaire, après que le bureau du chef du gouvernement a notifié à l'Union qu'il y avait six violations qui nécessitaient une vérification. Le présidente du parti PDL a contacté directement devant ses partisans le gouverneur de Tunis, Chedly Bouallegue, et lui a demandé d'assister et d'appliquer la loi. Un membre de l'Union internationale des savants musulmans est apparu dans une vidéo sur les médias sociaux, dans laquelle il a déclaré que lui et ses compagnons étaient séquestrés au siège à cause du sit-in du PDL.