Tarek Diab, l'ancien ministre tunisien de la Jeunesse et Sports et ex star du football tunisien, et également analyste sportif, a démenti les informations sur sa nomination à titre d'ambassadeur du dossier du Maroc candidat pour accueillir la phase finale de la Coupe du monde 2026, expliquant qu'il avait reçu une invitation à soutenir cette candidature sans avoir été nommé ambassadeur pour cela. Dhiab a déclaré à cet égard: »Je ne suis pas un ambassadeur du dossier marocain, mais je vais le soutenir de ma position et sur les plateaux des chaînes de Bein Sport… Tous les analystes sportifs arabes doivent soutenir le dossier de candidature du Maroc de leurs positions. » Il a également indiqué qu'il a consulté le dossier marocain après avoir été appelé à le soutenir, et a constaté que le dossier est très solide, doté d'un grand potentiel de qualification, et qu'il est capable d'abriter la Coupe du monde 2026, soulignant à l'occasion que le Maroc est un pays de sécurité et de sûreté, caractérisé par sa proximité géographique de l'Europe, d'un tourisme prospère, sans parler de la disponibilité de grands hôtels de luxe, des installations sportives majeures, des stades annexes et d'importants moyens financiers. Tarek Diab semble être convaincu de la faiblesse du dossier américain devant celui du Maroc, considérant que le dossier des Etats-Unis manque de finalisation pour pouvoir abriter la Coupe du Monde 2026, compte tenu de nombreux facteurs non-aidant, notamment la distance géographique entre les trois pays, ce qui met en difficulté les sélections pour se déplacer entre ces pays et leurs villes, ajoutant : »Le choix de ce dossier ne sera pas raisonnable, et aux officiels de penser aux sélections qui vont se trouver contraintes à parcourir de longues distances au cas où la Coupe du Monde aurait lieu en Amérique du Nord. Il est préférable que les sélections jouent au Maroc. » L'ancien footballeur tunisien a expliqué dans une interview, que le Maroc a de bonnes relations extérieures, loin de tout problème avec les pays du monde, contrairement aux Etats-Unis dirigés par Donald Trump, d'autant plus que le Royaume marocain est considéré un pays « aimé » par tout le monde, sans parler de la relation exceptionnelle Roi Mohammed VI avec le reste du monde, ce qui permettra au Maroc de récolter le plus de voix lors du vote du 13 juin prochain. Quant à la commission ‘Task Force' et aux nouvelles normes adoptées dernièrement par la fédération internationale, Tarak Dhiab a déclaré que »Les officiels de la FIFA ont été surpris par la solide consistance du dossier marocain, et ont estimé que son potentiel financier était limité, avant de découvrir sa force sur le plan financier et au niveau des infrastructures… Le comité de candidature du Maroc, qui a fait un travail colossal, est constitué de gens qui connaissent bien le monde du football, et aux Marocains d'être fiers de ce comité, même si le Maroc serait privé de l'honneur d'organiser la Coupe du Monde chez-lui. » D'après Hespress