Hamma Hammami, porte-parole du Front populaire, a tenu les trois présidents et la troïka pour responsable de l'assassinat de Chokri Belaïd, secrétaire général du parti des patriotes démocratiques Unifiés. Chokri Belaid, avait reçu des menaces quotidiennes et la troïka n'a pas pris au sérieux les dites menaces. "Nous ne pointons du doigt aucune partie mais nous savons que des éléments politiques radicaux n'ont pas arrêté de menacer Chokri Belaid" a conclu Hamma Hammami.