Quand on évalue les grosses sommes d'argents qui ont été récoltées par la société Yosr Développement du dénommé Adel Dridi, des sommes confiées par des citoyens qui cherchaient le gain facile et rapide bien sûr, puisque les promesses illusionnistes qu'offrait le manager de la société pouvait atteindre un retour de 400 % de la mise, on se demande si Adel Dridi avait agi seul ou avait-il été aidé par des parties en haut lieu ? Maintenant qu'il est entre les mains de la Justice, qu'en sera-t-il de tout cet argent qu'il avait récolté et d'abord : Où est cet argent ? Selon Mourad Hattab, expert financier spécialisé dans les risques, a affirmé sur les ondes de Shems FM, qu'il est presque impossible que les personnes qui ont investi à la société Yosr Développement puissent être remboursées et qu'il est presque certains qu'ils ont perdus leur argent. L'expert a souligné que la société Yosr développement n'est pas une société de recrutement, qu'elle est en violation des lois de l'entreprise et donc elle ne peut prétendre être en faillite parce que le contrat n'est pas légal juridiquement, soulignant qu'il existe également en Tunisie 4 autres sociétés semblables à Yosr, appelant les autorités compétentes à assumer leurs responsabilités au niveau de la surveillance, de la conformité aux normes et la protection du système financier tunisien. Par ailleurs, certains médias ont dévoilé une relation entre Adel Dridi et Adel El Almi. Comment et dans quel intérêt un ''Cheikh Islam'' comme le dénommé Adel El Almi, président d'une association religieuse centriste de ''Dâawa'', fréquente-t-il une personne soupçonnée d'être un ''escroc'' ? Selon le site Al Jomhouria, Adel El Almi se rendait assez souvent au siège de la société YOSR développement, et questionné par Al Jomhouria sur ses allées et venues et ses rencontres avec Adel Dridi, il a confirmé ses relations avec le concerné, mais il a nié avoir déposé le moindre dinar dans ladite société. (Source)