Le secteur médiatique en Tunisie se retrouve, depuis quelques semaines, comme dans une ''cocotte-minute'', surtout à quelques jours du démarrage de la campagne électorale des législatives du 26 Octobre, tout en paraissant assez ‘'épicé'' par la récente décision prise par la HAICA contraignant les chaines de télévision Nessma et Hannibal à la suspension de leur diffusion dimanche passé à minuit. Au vu de cette situation, notre consœur Frida Dahmani a publié, sur le site du magazine international Jeune Afrique, un article dans lequel la journaliste a décortiqué le paysage médiatique jugé ''délicat'' et même menacé par plusieurs facteurs sur lesquels elle est minutieusement revenue. Elle a indiqué dans son document que la Tunisie dispose de 14 chaînes de télévision, de 30 radios nationales et locales, autorisées ou non, d'une cinquantaine de titres de presse et autant de médias électroniques, sans compter les publications des partis. La journaliste est revenue également sur les quelques magnats de ce secteur, tel que Hachemi Hamdi, propriétaire de la chaîne Al Mustakilla ou encore, le richissime homme d'affaires Mohamed Ayachi Ajroudi, acquéreur de la chaîne Al Janoubia. Source