La démarche de privatisation lancée par la BTK semble faire des émules. C'est ainsi que la BTE, dont le capital est contrôlé par l'Etat tunisien et l'Abu Dhabi Investment Authority (ADIA) avec chacun 38.9% des actions et 50% des droits de vote, a décidé de prendre la même voie. Un calendrier est, croyons-nous savoir, est en train d'être mis en place. Premier signe, depuis la décision du Conseil d'Administration en 2006, le retrait, comme il est d'usage, de la notation par Fitch Ratings. Autres signes, une certaine effervescence observée aux sièges avec le recrutement de nouveaux cadres et de nouveaux personnels et tout le monde parle du sérieux et du professionnalisme pour que la banque se prépare au mieux à cette privatisation et se vende au meilleur prix. R.B.H.