Le ton de franchise qui avait régné sur les plateaux de la télévision aux premiers jours de la révolution a fait dire à une journaliste aujourd'hui retirée du secteur des médias: «J'étais tellement contente que j'ai commencé par écrire sur mon (...)
8h57. 6ème étage, il s'agit bien du bureau du président de l'UTICA. Hédi Djilani nous reçoit. Il se lève de son bureau et vient à notre rencontre. La poignée est franche et il affiche un large sourire. Il a quelque chose de lumineux dans le regard. (...)