Une faute d'orthographe flagrante s'est glissée dans la plaque inaugurale du service de consultations externes au centre de maternité et de néonatologie de l'hôpital Wassila Bourguiba à Tunis. Une erreur frappante pour une plaque rédigée en langue arabe, qui reste, désormais, la langue maternelle et officielle de la Tunisie. Pire que la faute d'orthographe, le terme « néonatologie » en arabe est mal traduit. Un simple clic et une consultation du service offert publiquement par Google Traduction auraient pu éviter à la ministre de la Santé, Samira Merai, qui a inauguré ce nouveau service, d'être la risée des réseaux sociaux.
Toujours est-il, le service Google Traduction est à consommer avec modération, afin d'éviter l'épisode déjà vécu par les chargés de communication de la ministre tunisienne de la Culture, Latifa Lakhdar. Le nom de la ministre s'était, en effet, transformé en « Dr belle ministre vert et de la culture et de la sauvegarde du patrimoine » dans un communiqué public traduit automatiquement par le moteur de recherche.