Trois députés ont affirmé, mercredi 20 septembre 2017, que leurs signatures ont été falsifiées dans la correspondance adressée à l'Instance provisoire de contrôle de la constitutionnalité des projets de loi, introduisant un recours pour inconstitutionnalité de la loi de la réconciliation administrative. Les trois députés de l'UPL, Mahmoud El Kahri, Mohamed Lamine Kahloul et Olfa Jouini ont assuré qu'ils n'ont pas signé cette correspondance, appelant le président de l'Instance provisoire de contrôle de la constitutionnalité des projets de loi, de prendre les mesures nécessaires à ce sujet.
Hier, les élus de l'opposition ont déposé leur recours et ont procédé à la publication des noms des signataires qui sont au nombre de 38.