« Le ministère public près le Tribunal de première instance de Monastir, a décidé d'ouvrir une enquête contre les personnes qui ont barré la route devant Le président [du parti] Al Irada, Moncef Marzouki, alors qu'il se rendait à la radio Ribat Fm pour y donner une interview », indique, aujourd'hui, dimanche 26 novembre 2017, l'avocat Amor Chetoui. Me. Chetoui ajoute que les agresseurs de son client, Moncef Marzouki, ont été identifiés à la suite de la plainte qu'il a déposée pour les poursuivre judiciairement. Dans le même contexte, le député Imed Daïmi affirme que les agresseurs risquent une peine qui peut aller jusqu'à cinq ans de prison.